kreidefossilien.de • Die sächsisch-böhmische Kreide

ÉTAGE CÉNOMANIEN DE LA BELGIQUE ET DE LA BOHÊME.

(Le Crétacé sudétique et ces équivalents dans les pays occidentaux de T Europe Centrale. Tome IV Partie 3.)

Par Č. Zahálka

Résumé du texte tchèque.

Dans cette note, nous présentons tout d’abord la classifica­ tion du Cénomanien bohémien (voir introduction — paragraphe 1), ensuite nous nous occupons de la comparaison des zones du Cénomanien bohémien avec les zones du Cénomanien du Nord de la France aux confins belges au pied des Ardennes en se basant sur nos propres études et observations faites dans la nature (ibid).

La délimitation de l’ensemble du Cénomanien et sa séparation de l’ensemble débutant par la zone à Pecten asper (IVb) et allant jusqu’ à la zone à Actinocamax plenus (VII) et la subdivision de cet ensemble en zones distinctes — IVb, V VI, VII, était une tâche très difficile qui se présenta aux géologues belges; cela tient à plusieurs causes.

Tout d’abord, les zones supérieures, et surtout la zone à Schlönbachia varians (V), abstraction faite du niveau inférieur la Tourtia de Mons (Va), la zone à Acanthoceras rotomagense (VI) et la zone à Actinocamax plenus (VII) ont la même composition lithologique que la zone à Inoceramus labiatus appartenant à la base du Turonien. Il était donc très difficile de poser les limites entre ces zones. Deuxièmement, toutes les zones que nous venons de mention­ ner, c’est à dire les zones V—VIII, sont insuffisamment mises à nu dans le sens horizontal comme dans le sens vertical. Ces zones sont ordinairement recouvertes par les termes supérieurs du Crétacé et les formations plus jeunes. Il s’en suit que les géo­ logues devaient se contenter de l’étude des coupes fournies par les sondages, les fosses et les puits qui ne livraient ordinairement pas de matériel suffisant pour la déscription des roches et ne permet­ taient pas de ramasser suffisemment de fossiles.